Projets
La force unique de l'AZF ? Son approche polyvalente et scientifiquement étayée. Avec un plan en six étapes, l'AZF œuvre à l'avenir durable et harmonieux de trois projets locaux et internationaux.
Nous n'isolons pas la biodiversité menacée. Nous les rapprochons justement de l'homme et de la nature.
- Définir les HOTSPOTS :
l'AZF cartographie les zones principales où vit l'espèce menacée. Elle les protège ou veut qu'on les protège. L'AZF veut garder ces sites aussi purs et intacts que possible pour assurer l'épanouissement et la survie, sans encombre, de la biodiversité. Le hotspot a ainsi l'opportunité de se transformer en "paradis".
2. Dessiner un PAYSAGE VIVANT :
l'AZF trace un périmètre autour des zones principales ou hotspots. Avec les autorités locales et la population, elle met sur pied des projets économiques pour les rendre plus résilients pour l'avenir.
3. Études sur l'UTILISATION DES SOLS : l'AZF mène l'enquête côte à côte avec la communauté locale. Quels sols contient le périmètre entourant les hotspots ? Quelle est leur finalité ? Quelles sont les possibilités économiques ? L'AZF aide à faire reconnaître formellement ces affectations du sol et à définir l'aménagement du territoire.
4. LES PIEDS DANS LA BOUE : l'AZF déploie sur place ses années d'expertise. Elle fait la différence, parfois littéralement, les pieds dans la boue, aux côtés de la population et des autorités locales.
5. Créer la COHABITATION : l'AZF, les autorités locales et la population locale conjuguent leurs efforts pour que les hommes et la biodiversité vivent en harmonie dans ce paysage vivant. L'AZF démontre aux différentes parties l'intérêt de vivre et travailler ensemble dans ces territoires. Pour ce faire, elle développe des activités économiques dans la périphérie. Du coup, les hotspots ne représentent plus une source essentielle de nourriture ou de revenus et sont alors épargnés. Les animaux protégés peuvent ainsi continuer à vivre en toute quiétude.
6. PRÉPARER L'AVENIR : l'AZF partage ses connaissances et outils avec les équipes et acteurs locaux. Lorsque le projet de conservation aura bien mûri et sera suffisamment ancré pour évoluer de manière indépendante, ils pourront continuer seuls.